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Mes élytres étaient fragiles comme au sortir de la nymphe maintenant j'ai la carapace d'un GroKonar !!!
16 mars 2009

Cancer

Métastlaze : croissance d'un organisme pathogène sur un blog. La métastlaze se remarque par l'abondance de propos d'une navrante connerie en commentaire des articles d'un blog. Ainsi sont tenus de longues logorrhées sur le football et particulièrement sur l'attachement au club phocéen. (A ce propos la métastlaze survenue sur ce blog dans un article dédié à un chanter décédé d'un cancer est de fort mauvais goût, ce qui n'est pas le genre de la maison...)
Les métastlazes sont d'origine extérieure et elles proviennent d'individus à présence, en taux élevé, d'alcool dans le sang. Elles se développent aussi très bien chez ceux rendus aigris par leur boulot de merde ; aigreur bien souvent accompagnée d'une haine du fonctionnaire, figure archétypale de la feignasse, ce qui constitue alors un terrain des plus favorables à cette gangrène.
La métastlaze s'attaque souvent, et c'est le cas ici, à des blogs aux propos brillants, à l'humour ravageur, et néanmoins émancipateur, contre la médiocrité intellectuelle, la bêtise humaine. Tout ce fait figure d'intelligence est une cible potentielle...

Pour lutter contre cette saloperie, c'est bien simple. Il suffit de menacer l'individu essaimeur avec un bon gros gourdin, un truc bien dur, bien long et assez profilé pour l'explorer au plus profond de son intimité. S'en prendre plein le cul est la voie de la guérison. Mais attention car derrière la vélléité du sujet n'est qu'un paravent à sa pusillanimité, derrière les mots lesactes ne suivent pas. Il existe un autre remède, testé récemment, l'humiliation par une cuite à domicile mais il semblerait que les cas de rechute soient plus fréquents...

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C
ou beunéite aigue: aggravation d'une tendance autocongratulatrice dégénérente. Le sujet atteint de beunéite aigue se perd dans des propos insensés malgré l'impression ressentie d'être un intellectuel d'une particulière excellence.<br /> Les sources de cette pathologie sont généralement sociales. Elles naissent d'humiliations refoulées de l'enfance qui se poursuivent à l'adolescence et finissent par être acceptées par le sujet.<br /> Les études ont pu démontrer que ces humiliations n'ont pas un caractère grave, il s'agit généralement de brimades répétées de camarades , qui sont toutefois très mal acceptées par le malade en devenir.<br /> Le sujet, dénommé à juste raison par le grand docter laze: "beunet", dans son étude en trois volumes des syndromes de déficience hypotalamique avancée, n'accepte pas dêtre un idiot.<br /> Il ne va cesser d'avancer qu'il jouit d'un grand intellect, persuadé de sa science à l'égard de la société, société qui n'a de cesse de relever son imbécilité. De cette antagonisme naît le syndrome de beunéite qui s'aggrave plus la contradiction persiste.<br /> le docteur laze insiste sur la potentielle gravité de cette pathologie, il convient d'adopter un traitement rapide quand le sujet atteint l'âge de 30 ans. En effet au bout d'un certain moment cette certitude d'être ce que l'on ne sera jamais devient irrévocable, la pathologie pouvant dévier vers une folie incurable (n'avez vous jamais croisé un fou se prenant pour Napoléon? ).<br /> Le traitement doit être à la hauteur de l'avancée de la maladie, le sujet doit notamment accepter qu'il est un con et il faut souvent le lui rappeler jusqu'à ce qu'il le reconnaisse. Les séances peuvent être difficiles mais il faut pousser le malade dans ses retranchements, le docteur laze a notamment pu constater chez des sujets de trente ans que le traitement pouvait être couplé à des séances de coït annal, en effet un choc violent et parfois douloureux aide le malade à se soigner . Il se rend compte par évidence qu'il n'est pas le maître ; et c'est justement de par cette acceptation d'une réalité qu'il ne peut contourner en sa faveur que commence une bonne thérapie.<br /> Quelques grands noms de sujets attents de beunéite aigue: Florent P, Pascal O, Jean S et son père, Waldemar K
Mes élytres étaient fragiles comme au sortir de la nymphe maintenant j'ai la carapace d'un GroKonar !!!
  • "Connard" fut, est, et sera le qualificatif utilisé par mes amis pour me décrire... Et ils ont raison !!! Du Scarabaie il ne reste plus que le nom, Grokonar a pris le contrôle, pour de bon cette fois !!!
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