7 septembre 2008
Déboires bretons, la suite
C'est avec joie que je retrouvai ma demeure après cette escapade bretonne qui aurait pu être parfaite sans ce con de flic (pléonasme) de Pont-Aven. La joie fut de courte durée puisque siégeait dans ma boîte à lettre une petite missive du Ministère de l'Intérieur m'annonçant qu'un sous-brigadier de Quimper m'avait flashé à 8 km/h au-dessus de la vitesse autorisée et que mon permis allait être allégé de quelques points (un ou deux j'espère) et mon portefeuille de 90 euros.
Je repense au petit bar breton dans lequel j'étais entré avec Stacheman au sortir des Vieilles Charrues et la haine du flic que partageaient les clients et la gérante. Je comprenais déjà à l'époque mais à l'heure d'aujourd'hui encore mieux...
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