J'en appelle à la Justice de mon pays
La remarque de mon ami éthologue m'a fait remonter un vieux projet qui se cachait au fin fond de mes méninges. Le temps est au retour des vieux souvenirs sur ce blog, dirait-on. (T'inquiète, la Rennaise, je pense à ton entrée "mystère"... comment oublier ??? Ton tour viendra...)
Bon l'ami susnommé signale, comme à son habitude, par une elliptique remarque, que tout le monde est au courant d'une info sans l'avoir vraiment recherché. Beaucoup de gens, moi le premier, n'ont rien à branler des greluches que peut se taper le Nabot de l'Elysée. Et beaucoup savent aussi que tout ce glamour servi à grands coups de louche n'est là que pour distraire le "bon peuple" des autres sujets, notamment que les fins de mois sont de plus en plus difficiles...
Donc, et j'en arrive à mon projet, voilà une partie de notre cerveau squatté par une info de merde, qui à force de matraque, s'est logé dans notre mémoire. Or il existe une corporation qui est spécialisé dans le viol de nos méninges... Je veux parler de ces bâtards de publicitaires. Eh oui, réfléchissez.
- Qui choisit de voir de la pub (à part quelques idiots qui y voit un certain "art") ? Personne.
- Qui veut entendre, voir des spots débiles plusieurs fois par jour ? Personne. (oui, on trouvera toujours un gros malin, qui me dira, "t'as qu'à éteindre ton poste...")
- Qui est capable de citer des slogans publicitaires ou de raconter une pub ? Tout le monde !
Je ne sais pas pour vous, mais pour moi ça m'emmerde qu'une partie de ma mémoire soit occupée par ces merdes de publicitaires. Place qu'elles occupent au détriment d'autres choses. En plus le matraquage auquel nous sommes exposés, les incruste particulièrement dans notre encéphale.
Donc :
J'ACCUSE les publicitaires d'occupation illégale de ma mémoire
et
J'EXIGE une réparation à ce titre
J'espère que des lecteurs ayant une bonne connaissance du droit vont pouvoir m'aider. N'hésitez pas à vous joindre à mon combat.
N.B. Vu la femme sandwich pour grands couturiers qu'est la Ministre de la Justice, j'ai un peu de doute quant à l'aboutissement de mon projet...